Au respect de ces résultats, elle considère être en mesure de remporter les législatives de juillet prochain et ainsi être l’une des events d’un exécutif à deux têtes.
Pour ce faire, ses dirigeants plaident Pour une jonction des pressures en présence. Les unions Wallu Sénégal (PDS et Cie) et Yewwi Askan Wi (Pastef et Cie) ont mené des conversations dans ce sens.
«Après les élections locations, nous avons analysé les résultats et tout le monde est convaincu qu’il était feasible d’imposer la common-law marriage à Macky Sall aux législatives, aussi bien la union Wallu Sénégal que la union Yewwi Askan Wi, ainsi que même les autres unions. Donc, à partir de ce moment-là, cela signifie qu’il nous faut trouver les services à une liste gagnante de l’opposition regroupant en particulier Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal», déclare dans les colonnes de L’Observateur Mamadou Lamine Diallo , le président du mouvement Tekki (Wallu).
S’il reconnaît que la tâche «n’est pas facile», Mamadou Lamine Diallo estime que «c’est parfaitement feasible». «Nous y avons réfléchi», confie le leader de Tekki. Qui s’est gardé de donner plus de détails.
« Nous n’allons pas dévoiler notre stratégie puisqu’en 2017, nous avions tenté une telle expérience, mais Macky Sall avait réussi à nous dynamiter. Cette fois-ci, nous allons prendre toutes nos précautions Pour y arriver», assure-t-il.