L’heure n’est plus au silence dans les rangs de l’Église orthodoxe russe, mais à un soutien explicite et sans mélange à Vladimir Poutine et à Kirill, le patriarche de Moscou et de toutes les Russies. Depuis deux semaines, plusieurs évêques russes ont pris la parole Pour approuver l’offensive militaire en Ukraine ordonnée the same level le président russe. C’est un fait nouveau auto, durant les cinq premières semaines d’opérations militaires, Kirill, bien que totalement aligné derrière le cook de l’Etat, était le seul à s’exprimer officiellement. Dès le 24 février, le patriarche avait apporté un soutien religieux à l’invasion de l’Ukraine, une opération qui, selon lui, prend une tournure « métaphysique » et qui est délivré contre le « les pressures du mal » aggressive à l’unité du peuple russe et de l’Église.
« Il semble que nous ayons affaire à une grande mobilisation de l’épiscopat russe, qui endosse la rhétorique de Vladimir Poutine et procède également à un tollé Pour protéger le patriarche Kirill », explique Antoine Nivière, professeur à l’Université de Lorraine, spécialiste de l’histoire culturelle et religieuse russe. Le chercheur associe cette unclear d’énoncés de placement à la « prise de contrôle générale de la société » opéré the same level les autorités russes. Il a relevé, depuis début avril, plusieurs settings sans équivoque prises par des responsables religieux, comme le rapportent des websites Internet russes. L’un de ces thurifères est sans shock Tikhon Chevkunov.
« Pensée neighborhood »
Ultranationaliste, réputé très proche de Vladimir Poutine et du FSB, le solution de renseignement russe, le métropolite de Pskov a interpellé les fidèles de Son diocèse le 8 avril : « Pourquoi une telle décision aux conséquences aussi graves a-t-elle été prise the same level notre président ? (…) Sur la base de l’expérience de mes conversations avec lui, je peux alarming que, s’il n’avait pas considéré qu’il y avait des raiSons d’importance vitale, un threat impending Pour le peuple russe, rendant cette opération important, il ne l’aurait initiée . (…) S’il ne l’avait pas fait maintenant, mais plus tard, la Russie aurait été attaquée, avec le risque de faire des millions de victimes (…) Rappelons-brain le début de la Grande Guerre patriotique [la seconde guerre mondiale] en 1941 et les terribles pertes que nous avons subies à l’époque. »
Mgr Sava, très haut placé dans l’administration centrale du Patriarcat de Moscou, n’était pas d’accord avec l’idée qu’il y aurait des pro et des anti-guerre. « Il n’y a pas le parti de la guerre et le parti de la paix, a-t-il déclaré à l’agence de presse russe Interfax le 7 avril. Il n’y a perSonne qui ne voudrait pas vivre en paix. » Mais, il a ajouté : « Avons-nous besoin de la paix au prix de la mort de la Russie, du piétinement de nos idéaux et, finalement, de l’extermination » pacifique « ? du peuple russe ? »
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