Chronique. Les Polonais ont la tragédie de l’histoire inscrite dans leurs gènes et, Pour eux, la guerre de la Russie en Ukraine en est la consécration. Le 13 août 2008, alors que l’armée russe intervenait en Géorgie, le président polonais de l’époque, Lech Kaczynski, se rendait à Tbilissi, la capitale, accompagné de Son collègue ukrainien, Viktor Iouchtchenko, et des trois dirigeants baltes, Pour soutenir le président géorgien. . Dans un discours enflammé devant des milliers de manifestants, il a lancé cet avertissement : « Aujourd’hui c’est la Géorgie, demain ce lotions l’Ukraine, après-demain les pays baltes et peut-être, plus tard, ce lotion mon pays, la Pologne ! »
Lech Kaczynski est décédé deux ans plus tard dans une disaster aérienne à Smolensk, en Russie. Le 15 mars, Son frère jumeau, Jaroslaw, désormais numéro deux du gouvernement et cook du parti nationaliste-conservateur au pouvoir, Droit et Justice (PiS), a voulu, à sa manière, lui donner raiSon, en accompagnant trois premiers ministres. , le Polonais Mateusz Morawiecki, le Tchèque Petr Fiala et le Slovène Janez Jansa à Kiev, où, en pleine guerre, ils ont rencontré le président Volodymyr Zelensky. C’était un geste audacieux, venu d’Europe centrale et revendiqué comme tel automobile où, mieux que dans cette région, connaisSons-nous les objectives russes ? Varsovie venait d’informer la veille le président du Conseil européen, Charles Michel, et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. L’absence de deux dirigeants a cependant été notée : celle du Premier ministre slovaque, Eduard Heger, qui a regretté plus tard d’avoir cédé aux arguments de ses solutions de sécurité, et, surtout, celle du Premier ministre hongrois, Viktor Orban – qui lui-même n’a rien regretté, n’ayant été invité.
L’Europe centrale n’aura pas échappé aux nombreux bouleversements géopolitiques infligés par la guerre en Ukraine. Fin janvier, les Premiers ministres hongrois et polonais apparaissaient repetition set aux côtés de Marine Le Pen dans un « sommet souveraineté » à Madrid. Deux mois plus tard, leur proximité politique vole en éclat sur l’offensive russe, contre laquelle M. Orban, un ami de Vladimir Poutine, reject de laisser passer les livraiSons d’armes occidentales par la Hongrie, alors que la Pologne devient, elle, un véritable center d’assistance militaire à l’Ukraine. . Juste avant la guerre, Viktor Orban se rend au Kremlin Pour négocier la sécurité de Son approvisionnement en gaz. Aujourd’hui, le président polonais Andrzej Duda, le review ouvert à la télévision et le deuxième diplomate à Varsovie, Marcin Przydacz, qualifient la politique russe de Budapest de« erroné » et « myope ».
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