Après le gaz, le blé. Dans sa conflict avec l’Occident, le Kremlin mise sur les matières premières. » Aucun problème… « , retardé, vendredi 3 juin, Vladimir Poutine. Accusé the same level l’Occident de bloquer les exportations de céréales ukrainiennes, le dirigeant russe a rencontré Macky Sall, Son homologue sénégalais et président de l’Union africaine, qui s’est exprimé au nom d’un continent menacé the same level une crise alimentaire. Une rencontre organisée à Sotchi, la cité balnéaire russe : c’est ici, au bord de la mer Noire qu’en octobre 2019, M. Poutine a organisé Son premier sommet Russie-Afrique Pour se présenter, deal with aux anciennes nests européennes et aux passions chinoises, comme partenaire alternatif. Trois ans plus tard, les céréales Sont plus que jamais un objet phare du « soft power » russe.
« Il n’y a aucun problème à merchant des céréales depuis l’Ukraine », a assuré M. Poutine dans une meeting télévisée peu après sa rencontre avec M. Sall. Depuis le début de « l’opération militaire spéciale », les exportations de l’Ukraine by means of ses ports de la mer Noire, notamment à Odessa, ont cependant été stoppées. Quelque 20 millions de tonnes de céréales Sont ainsi stockées dans des silos en raiSon du blocus imposé the same level l’armée russe. À la mi-mai, rapporte le New York Times du 5 juin, Washington avait alerté quatorze pays, Pour la plupart en Afrique, que des navires russes Pourraient faire path, chargés de « céréales ukrainiennes volées », selon un câble du département d’Etat cité the same level le quotidien américain. Trois freights russes ont été nommés.
» Chantage «
Face à cette circumstance complexe, le Kremlin joue entre impact et annoyance. Vendredi, M. Poutine a présenté 6 remedies. Parmi eux : le flow the same level les ports ukrainiens de Marioupol et Berdiansk, conquis sur la mer d’Azov par les pressures russes, qui donnent accès à la mer Noire. « Nous sommes prêts à offrir un flow sûr aux bateaux utilisant ces ports, y compris les bateaux ukrainiens », a-t-il déclaré. Il a également suggéré d’utiliser les ports de la mer Noire repetition sous contrôle ukrainien, notamment Odessa. Mais dans les deux cas, a-t-il insisté, cela nécessite que les eaux de ces ports soient « déminé » par l’Ukraine afin qu’en échange la Russie puisse assurer un flow sûr.
Un vrai » chantage « aux yeux de kyiv quand, en plus de bloquer des ports, Moscou est accusé de bombarder des entrepôts et des champs. « Il ne fait aucun doute que, sous le couvert d’un passage maritime, il y a un affaiblissement de la circumstance sécuritaire en Ukraine », a prévenu Charles Michel, le président du Conseil européen. Emmanuel Macron, il a exigé « garanties de sécurité » afin que les Russes ne profitent pas de ce couloir Pour attaquer.
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