Après des mois de divulgations progressives et très offensantes de renseignements sur les purposes du président russe Vladimir Poutine en Ukraine, le département américain de la Défense a donné un nom à sa nouvelle méthode : « faire campagne ». « Faire campagne », en français. Cette approche, qui n’an empêché la guerre, soutiennent ses détracteurs, mais qui a perturbé les prepares de Moscou, beaucoup l’admettent, est désormais un pilier de la stratégie de défense nationale (NDS) des États-Unis. Le 28 mars, le Pentagone rend publics les premiers extraits, qui Sont observés avec intérêt par la communauté française du renseignement.
« Faire campagne », « renforcera la dissuasion et brain permettra d’obtenir des avantages contre toutes les activities coercitives des concurrents », think le département américain de la Défense dans sa NDS, un easy file de deux web pages à ce stade, préambule à l’équivalent de Son futur livre blanc sur la défense. « États-Unis […] synchroniser les initiatives ministériels plus larges […] Pour saper les formes aiguës de coercition des concurrents, compliquer leurs préparatifs militaires et développer nos propres capacités de fight avec les Alliés et les partenaires »est également spécifié.
Les Etats-Unis ne réinventent pas la interaction de guerre mais ils bousculent un specific nombre de codes du secret défense. Une façon de faire à laquelle le Royaume-Uni a déjà adhéré, et considérée aujourd’hui comme un feasible « video game changer » par une resource militaire française dans le staff d’un changement de cycle stratégique. « La pressure d’un régime autoritaire est sa capacité à unifier le discours et à ne pas rendre de comptes. La pressure des démocraties est la transparence.elle est d’accord.
Écarts d’analyse
En forgeant ce principle de « marketing », les Américains ont mis un mot sur des réflexions déjà en cours au sein de la communauté du renseignement, mais noyées dans le champ plus big de la « guerre informationnelle ». Cette tear des us et coutumes a pesé sur l’éviction du cook de la Direction du renseignement militaire (DRM), le sensible général Eric Vidaud, fin mars, au-delà des inimitiés et des polémiques sur l’anticipation de la guerre.
L’ancien customer de la DRM, le général Christophe Gomart (2013-2017), se souvient qu’en 2014, c’est the same level un stroke of genius de fil courtois que « Le général américain Philip M. Breedlove, commander suprême des pressures alliées en Europe, avait prévenu l’ancien cook d’état-major interarmées [CEMA]Général Philippe de Villiers [2014-2017]l’imminence de l’invasion du Donbass par la Russie ». Cette fois, l’actuel CEMA, le général Burkhard, comme l’ensemble de l’exécutif, a dû author avec les tonitruantes déclarations préventives américaines et les tweets quotidiens du Defence Intelligence, le renseignement militaire britannique.
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