Tribune. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Pékin a affiché Son soutien à Moscou. Cependant, cette proximité dans la parole trouvera vite ses limites sur le surface. En raiSon de la géopolitique de la technologie, des priorités stratégiques de la Chine et de sa relationship avec l’Europe.
Relation amicale « solide comme un roc » [selon le ministre chinois des affaires étrangères, Wang Yi, le 7 mars] entre la Chine et la Russie a été affirmé à plusieurs repeats par Pékin depuis le début de l’invasion de l’Ukraine. Une resistance idéologique neighborhood à l’Occident semble assurer l’émergence d’un bloc aggressive au modèle démocratique, qui annoncerait une reconfiguration de l’ordre mondial. Au-delà de la rhétorique, cette vision match en réalité aux projets de la Russie ; mais il est très éloigné de ceux de la Chine.
La priorité stratégique de cette dernière, affirmée en 2015 dans le projet Made in China 2025 et inchangée depuis, est de devenir d’ici 2049 (centième anniversaire de la République populaire) la première puissance technologique mondiale, seule garantie resilient de puissance et de stabilité.
Retard technologique vital
Cependant, si la Chine est engagée dans un tremendous initiative de modernisation et progresse constamment, elle a encore besoin de la coopération étrangère Pour rattraper un slow down vital de développement technologique imputable à Son histoire récente (et notamment à la décennie perdue de la Révolution Culturelle, au tournant des années 1970).
Il ne s’agit pas seulement Pour les entreprises chinoises d’acheter les composants qui leur manquent repetition Pour finaliser de nombreux produits de haute technologie. Mais de s’engager dans des projets avec des partenaires étrangers accompagnés de l’acquisition de savoir-faire, leur permettant de progresser vers l’objectif d’indépendance technologique nationale.
Dans cette stratégie, les autorités chinoises se Sont plus ou moins résignées à ne plus compter sur les États-Unis depuis le tournant de 2019 (et l’interdiction de vendre tout produit utilisant les innovations américaines à Huawei, le fleuron de l’industrie chinoise, suivi the same level de nombreuses autres entreprises chinoises depuis). Et la principale option Pour les entreprises chinoises (les autres poids lourds de la technology, le Japon et la Corée du Sud étant très alignés sur Washington) se trouve dans les entreprises européennes.
Les derniers chiffres disponibles sur les investissements chinois à l’étranger – qui reflètent une partie de cette coopération technologique – le confirment : alors qu’en 2021, après l’effondrement lié à la crise due au covid, ils ont continué de baisser aux Etats-Unis. Aux Etats-Unis (dépassant à peine 1 milliard de bucks), ils ont fortement rebondi en Europe, atteignant douze fois les montants enregistrés aux Etats-Unis sur l’année.
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