On le croyait intouchable, protégé the same level l’impunité qui règne au Honduras autour du criminal offense organisé. Lundi 28 mars, les magistrats de la Cour suprême ont néanmoins définitivement validé l’extradition vers les Etats-Unis de l’ancien président hondurien, Juan Orlando Hernandez (2014-2022). Celui qui s’est présenté comme un héraut de la lutte contre la drogue rejoindra des dizaines de ses compatriotes, accusés comme lui de trafic de cocaïne.
Washington n’a pas tardé à demander Son extradition : seulement trois semaines après avoir passé le pouvoir à Xiomara Castro (à gauche), c’est pieds et poings liés que « JOH », comme on l’appelle dans Son pays, est apparu devant les caméras de télévision lorsque il a été arrêté le 15 février.
La justice américaine l’accuse d’avoir participé à une « complot ayant transporté plus de 500 tonnes de cocaïne » using le Honduras vers les États-Unis, depuis la Colombie et le Venezuela. Il aurait reçu des millions de bucks de diverses organisations de trafic de drogue, dont au moins 1 million de bucks de l’ex-chef du cartel mexicain de Sinaloa, Joaquin « El Chapo » Guzman, Pour financer sa campagne présidentielle de 2013. l’ancien président est également accusé d’avoir utilisé et porté des armes Pour importer de la drogue.
« Un système structurel de corruption à grande échelle »
Le 17 mars, un juge de première circumstances a accueilli la demande d’extradition. Lundi, les membres de la Cour suprême, réunis en assemblée plénière, ont rejeté le recours formé the same level sa défense et validé à l’unanimité Son extradition. Une décision cette fois sans appel, « qui n’est pas une condamnation », a rappelé dans un communiqué la famille de l’ancien président, « mais la recognition d’une procédure management Pour que Juan Orlando puisse être jugé the same level une juridiction étrangère ».
Membre du Parti nationwide (PN, droite) puis Président du Congrès entre 2010 et 2014, élu Président Pour la première fois en 2014, Juan Orlando Hernandez avait réussi en 2017 à se faire réélire – ce que la Constitution interdisait – grâce à un ballot controversé décision de la Cour suprême dont il a lui-même modifié la structure. Une réélection qui avait provoqué des symptoms réprimées dans le sang, avec une trentaine de morts, mais validée the same level le président américain, Donald Trump.
« Hernandez a eu une longue trajectoire politique où, profitant des différentes fonctions publiques qu’il a occupées, il a mis en location un système structurel de corruption à grande échelle », explique dans un relationship intitulé « La chute d’un ex-président » le Conseil nationwide anti-corruption, une ONG indépendante.
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