RÉCIT – Le président ukrainien a décrété la mobilisation de la réserve et l’état d’urgence. Des renforts Sont envoyés à l’est et au nord du pays Pour faire face aux différents scénarios d’attaque contre Moscou.
L’écho de la guerre réSonne et secoue au-delà de l’Europe. Le monde est confrontéà l’heure du péril», a prévenu mercredi le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, dénonçant la décision de Vladimir Poutine de reconnaître «indépendancedes régions séparatistes de Donetsk et Louhansk dans l’est de l’Ukraine. Alors que quelque 150.000 soldats russes Sont massés près de la frontière, le cook du Kremlin a donné l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi de déclencher une opération militaire Pour défendre les séparatistes dans l’est du pays, lors d’une déclaration shock peu avant 4 heures du matin à la télévision. .
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« L’avenir de la sécurité européenne se joue en ce minute même ici, en Ukraine», a gravement déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, demandant désespérément «garanties de sécuritédes Occidentaux et de la Russie. Signe du pire, le perSonnel diplomatique russe a commencé Son évacuation d’Ukraine. De Son côté, le gouvernement ukrainien a annoncé la mobilisation de la réserve et déclaré l’état d’urgence.
Dans l’est du pays, la stress est toujours à Son comble. L’armée ukrainienne a déploré un mort lors d’un bombardement. Sans déclaration de guerre, l’affrontement a déjà commencé. Il threat de s’étendre à promote minute. Au sein de l’Alliance atlantique, on rappelle que les pressures russes près de la frontière disposent de supplies de artilleries et d’essence. Les performers de fight Sont appuyées the same levelvéhicules blindés, chars, drones, guerre électronique, projectiles, défenses aériennes», nous liste.
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De l’autre côté des frontières, les alliés ont relevé leur niveau d’alerte et lancé une première salve de permissions contre la Russie. Même la Turquie, membre de l’Otan mais soucieuse d’épargner la Russie, a prévenu le Kremlin : Ankara »ne reconnaîtra aucune mesure affectant la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine« . « Un conflit militaire n’apportera rien à perSonne», a assuré Recep Tayyip Erdogan lors d’un entretien avec Son homologue. Mais l’espoir que la Russie reculera est ténu. A Londres, le Premier ministre Boris JohnSon a annoncé que le Royaume-Uni augmenterait Son soutien militaire à l’Ukraine, y compris la livraiSonarmes défensives« . D’autres pays, comme les pays baltes, ont déjà fourni des armes à l’Ukraine.
Mais il n’est pas inquiry Pour les alliés de se battre directement contre la Russie. L’Ukraine n’est pas membre de l’OTAN et ne bénéficie pas de la defense de Son short article 5. Vladimir Poutine le sait. En retirant mi-février les 160 membres de la Garde nationale de Floride déployés depuis novembre Pour des goals d’entraînement de l’armée ukrainienne, les Etats-Unis ont fait savoir qu’ils ne risqueraient pas la vie de leurs ressortissants Pour Kiev.
« Crise des réfugiés »
Au contraire, les menaces économiques de Washington se veulent très claires dans l’espoir de toucher un factor de faiblesse de Moscou. Alors que la Russie est une grande puissance militaire, elle est économiquement delicate. Si la Russie choisit d’envahir, « il perdra l’accès à la technologie occidentalea déclaré mercredi le secrétaire au Trésor Wally Adeyemo. La Russie a répondu sur le même bunch en annonçant des permissions économiques contre les États-Unis.
Mais les premières réactions occidentales ne semblent pas de nature à arrêter le président russe. Une réunion d’urgence des 27 cooks d’Etat et de gouvernement européens a été convoquée ce jeudi soir. « Les activities agressives de la Fédération de Russie (…) sapent l’ordre de sécurité européen», a dénoncé le président du Conseil européen Charles Michel, soulignant trois enjeux Pour le sommet : «Comment protéger un ordre worldwide fondé sur des règles», «remark tenir la russie responsable de ses activities», «remark soutenir davantage l’Ukraine et Son peuple« . Les capitales européennes semblent Pourtant impuissantes encounter à la crise à venir.
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A l’ONU, l’ambassadrice américaine Linda Thomas-Greenfield s’est montrée alarmiste : «Si la Russie proceed sur cette voie, elle Pourrait – selon nos evaluations – créer une nouvelle crise de réfugiés, l’une des plus importantes à laquelle le monde soit confronté aujourd’hui, avec jusqu’à 5 millions de perSonnes supplémentaires déplacées the same level la guerre. choisi par la Russie et sa pression sur les voisins de l’Ukraine« , a-t-elle prévenu.
Les risques d’embrasement ne Sont pas écartés. Les États-Unis ont également renforcé leurs moyens militaires, notamment maritimes, dans la area. Le porte-avions Harry S. Trumanest déployé depuis décembre et Pour une durée indéterminée en Méditerranée. Avec leurs frégates et leurs sous-marins, les pressures américaines Pourraient déclencher une riposte majeure. L’hypothèse est considérée comme unlikely. Mais les militaires s’inquiètent du risque d’escalade the same level erreur de calcul.