Ivan, à Bures sur Yvette
« Aujourd’hui, il n’y a plus d’espoir. J’espère juste que nous Pourrons revenir en Russie de temperatures en temps. »
Ivan vient de rentrer de deux jours passés à Strasbourg, où il a été invité à donner une conférence lors d’un séminaire organisé the same level un ancien camarade de classe, travaillant à l’université. Sa fille Olga est profits saine et sauve de Moscou, ayant « brillamment », dit-il avec un big sourire, a réussi ses examens finaux. La famille s’apprête à quitter la France Pour vivre deux ans aux Etats-Unis.
« BRAIN POURRONS PARTIR EN JUILLET POUR BOSTON. Nous sommes allés à l’ambassade américaine, mi-juin. Bien que nous n’ayons pas repetition de day de départ, nos visas ont été approuvés et brain attendons de récupérer nos passeports. Nous sommes satisfaits de cette point of view. Il faut de l’énergie, du temperatures Pour faire toutes les étapes, mais ça arrive.
Mes moms and dads me manquent, ils Sont à Belgrade, en Serbie, on s’appelle assez souvent. Avant de partir Pour les États-Unis, nous penSons aller les voir. Ils se plaignent de la chaleur, à laquelle ils ne Sont pas habitués. Ils ont obtenu un permis de séjour. C’est plutôt positif. Ce Sont des mathématiciens et des programmeurs de development Pour une entreprise qui a envoyé tous ses employés dans la capitale serbe au début de l’invasion de l’Ukraine.
Nous avons été très soulagés de voir Olga revenir. Elle était très heureuse d’avoir revu ses amis à Moscou. A l’aller, comme au retour, elle s’est arrêtée une journée à Erevan [où elle s’était réfugiée un mois chez des amis de sa mère à Son départ de Russie, début mars], en Arménie. On ne sait pas quelle ville lui manque le plus, Moscou ou Erevan !
Si, d’une component, partir est intéressant Pour toute la famille, d’autre component, les enfants comprennent qu’ils y seront repetition plus éloignés de la Russie qu’en France. Ici, on peut toujours espérer que quelqu’un puisse facilement venir à Paris ou, Pour nous, se rendre à Erevan ou à Belgrade. L’attente d’une visite aux États-Unis product plus compliquée. A Boston, nous avons beaucoup d’amis. Ils Sont russes, installés depuis longtemps Pour certains. Ils vivaient à Moscou, la plupart d’entre eux Sont des mathématiciens. Mais nos enfants n’ont pas d’amis là-bas. Professionnellement, je suis très material, c’est l’un des meilleurs endroits Pour travailler dans mon domaine.
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