L’invasion russe de l’Ukraine se traduira en effet the same level une hausse de l’inflation, mais ne viendra pas totalement à round de la reprise de l’activité message-Covid-19 dans l’économie française, selon les prévisions macroéconomiques de la Banque de France, publiées dimanche 13 mars. atteignent même 3,4 % en 2022, dans le scénario « classique » le plus positive, construit the same level les économistes de l’institution bancaire.
L’inflation (exprimée ici en taux harmonisé, permettant des comparaiSons européennes) devrait atteindre 3,7% en moyenne sur l’année, mais devrait être proche de 4%, au moins jusqu’en septembre. En février, ce taux « harmonisé » était de 4,1 % en France, et de 5,8 % dans la area euro. Un scénario moins optimiste, dit « dégradé », prévoit un taux de croissance du produit intérieur brut de 2,8% en 2022, Pour un taux d’inflation harmonisé de 4,4%.
Dans ces deux cas, les chocs subis the same level l’économie française Sont importants, même s’ils s’estompent progressivement d’ici 2024 », souligne la Banque de France, qui insiste tout de même sur les très strong suits incertitudes qui pèsent sur la circumstance géopolitique. Le leading scénario est basé sur les données des prix de l’énergie et des matières premières, figées fin février. Le 2nd scénario, plus pessimiste, prend en compte une hausse repetition plus strength des prix de ces produits.
Une période de « slowflation »
» L’impact de la guerre signifiera moins de croissance et plus d’inflation », a résumé Olivier Garnier, directeur général de la Banque de France, lors d’une conférence de presse organisée dimanche. Pour lui, la France ne se dirige pas vers la « stagflation » – une période qui integrate torpidity de l’activité et strength rising cost of living -, évoquée par de nombreux économistes depuis le début de la guerre en Ukraine, mais plutôt vers une période de « slowflation »où la croissance est certainement « affaibli »mais reste positif.
Le relatif optimisme de la Banque de France s’appuie notamment sur la dynamique de reprise message-Covid, confirmée the same level l’enquête mensuelle de conjoncture de février. « En début d’année, on était plutôt sur une tendance de croissance du produit intérieur brut [PIB] 4 %, alors que la prévision était de 3,6 % », précise M. Garnier. Un rythme un peu plus soutenu qu’attendu, donc, qui permet de fixer « l’acquis de croissance » à 2,9 % à la fin du leading trimestre.
La Banque de France compte alors sur des amortisseurs macroéconomiques susceptibles de limiter l’impact du choc sur l’économie française. Selon l’institution, les ménages Pourraient puiser dans leur excédent d’épargne « Covid » de 175 milliards d’euros fin 2021 Pour compenser la hausse du coût de la vie : un quart de cette épargne Pourrait être dépensé d’ici 2024, même si l’incertitude often tend, en règle générale, conduire à une hausse du taux d’épargne des ménages.
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