Le président Macky Sall n’a toujours pas nommé de Premier ministre alors qu’il avait promis de le faire après les élections areas du 23 janvier. Ce slow down dans la election d’un nouveau Premier ministre est dû au fait que le cook de l’État est rattrapé par la Realpolitik, selon l’enseignant-chercheur en scientific research politique, Moussa Diaw.
« Macky Sall est dépassé the same level la Realpolitik. Il avait fait une interprétation arithmétique des élections areas, mais quand on regarde la réalité, il y a une strong suit percée de l’opposition, surtout dans les grandes villes où il y a une focus électorale thick. Il y a d’autres facteurs qui Sont liés à la scenario politique, aux mouvements sociaux au niveau de l’éducation nationale, de la santé, des mécontentements qui cristallisent un specific nombre de mécontentements de syndicats ou de populaces qui ont du mal à accepter la gouvernance économique, politique et sociale des la majorité », a expliqué le Dr Diaw dans L’Observateur.
A cela s’ajoute, selon lui, un climat incertain, un peu pesant, dans lequel le président a du mal à clarifier les settings des uns et des autres ou à respecter ses annonces. « Le décalage qu’il y a entre l’énonciation d’un discours et sa traduction dans la réalité remet en reason promote ce qui a été avancé comme disagreement automobile il a été dit que le président serait chargé de s’occuper des affaires intérieures parce que les inquiries africaines comptent « Cela renforce le doute et le manque de confiance. Rien n’a été respecté ».
« Aujourd’hui, nous sommes dans le silence, en manque de interaction sur ces inquiries. Le président s’est retrouvé dans une scenario difficile. Dans une meeting à Rfi, il a confié avoir quelqu’un en tête. Il est légitime de se demander si ce quelqu’un ne fait pas partie des membres du gouvernement qui ont été investis et qui ont échoué ? Si c’est le cas, il doit changer de registre automobile politiquement, c’est trop risqué. Ces facteurs expliquent le fait que nous soyons dans une scenario latente. Le président peine à trouver des justifications à ce silence, au fait qu’il ne peut pas ou ne veut pas nommer un Premier ministre », a déclaré le Dr Diaw.