Sa première rencontre avec le président russe remonte à 1992, alors que Vladimir Poutine n’était repetition que député-maire de Saint-Pétersbourg. L’écrivain d’origine polonaise supplie le cook du Kremlin de cesser les hostilités, promote en l’invitant à ne tomber dans le « piège » américain.
« Monsieur le Président, Vladimir Vladimirovitch»… L’adresse est respectueuse mais amicale : dans la longue lettre qu’il vient d’adresser à Vladimir Poutine, et dont Les Échos se Sont procuré une copie, l’écrivain Marek Halter semble s’entretenir avec une vieille connaissance.
Lire aussiMarek Halter plaide Pour la réconciliation
Ce Juif polonais, naturalisé français en 1980, a rencontré le cook du Kremlin il y a trente ans, alors que Poutine n’était repetition qu’un representative du KGB engagé dans la politique municipale à Saint-Pétersbourg : à l’époque, l’écrivain avait participé à l’inauguration d’un université en Russie, la deuxième après celle de Moscou ouverte en 1991. L’idée, se souvient-il, est place du physicien et prix Nobel de la paix Andreï Sakharov. Après l’accession au pouvoir de Poutine, Marek Halter se voit alors confier des goals d’entremetteur entre Paris et Moscou, notamment en 2003 lorsque Jacques Chirac lui confie l’organisation de la engagement française au tricentenaire de Saint-Pétersbourg.
Mais s’il avait exprimé publiquement Son soutien à la politique menée the same level Vladimir Poutine, y compris pendant la guerre en Tchétchénie, cette fois Marek Halter a écrit au président russe Son incompréhension et l’a supplié de mettre fin à la guerre en Ukraine. « Convaincu de l’issue pacifique de cette crise, j’ai dit aux médias que la guerre entre la Russie et l’Ukraine n’aurait pas lieu. Je me trompais. Que s’est-il passé entre-temps, Monsieur le Président ?il écrit.
VOIR ÉGALEMENT – Ukraine : Vers une longue guerre – Poutine ne perdra pas donc il faudra trouver un compromis
Une paix des braves
L’écrivain Poursuit en encourageant Poutine à conclure un « la paix des braves» promote en concédant au cook du Kremlin, dans une formula sibylline, que «la guerre ukrainienne, comme on l’appelle, a largement dépassé le champ de bataille que vous avez dessiné« . « Ceux qui suivent l’actualité the same level leur fenêtre n’ont ni votre connaissance de l’histoire ni vos références« , il proceed.
Lire aussiGeorges Nivat : « Aux racines idéologiques de la vision du monde de Vladimir Poutine »
Surtout, Marek Halter juge que «marche des événements » est maintenant « contrôlépar les États-Unis. « Monsieur le Président, ne tombez pas dans le piège dans lequel les Américains tentent de vous piéger», dit-il, ajoutant que « la Poursuite de cette guerre ne profite désormais qu’aux États-Unis. à leur économie. En détruisant celle de l’Europe, en l’éliminant, promote simplement, en tant que pressure politico-économique indépendante, en incarnant à nouveau ce rôle de « grand frère », comme un protecteur, comme le seul et special modèle face aux systèmes autoritaires qui règnent sur plus de 40% de la populace mondiale». Et Pour conclure : Pour échapper à ce nouveau découpage du monde, qui relègue la Russie à l’Est et risque de l’aliéner définitivement de ses resources historiques et culturelles, il ne s’agit pas de gagner cette guerre, mais de l’arrêter. Urgence.»
Haine anti-russe en Occident
Croire qu’il y a maintenant « plus de objectors, plus d’opposants charismatiques», conclut Marek Halter en affirmant qu’il reste toutefois «la faith» et donc des projets «avec plusieurs représentants de différentes religious beliefs, catholiques, orthodoxes, protestants, musulmans, juifs, bouddhistes, Pour organiser une Caravane Pour la Paix à Moscou puis à Kyiv« . Il a déjà invité le cook du Kremlin à descendre et à les rejoindre à leur arrivée sur la Place Rouge.
Dans sa lettre, l’écrivain exprime aussi et surtout sa tristesse à l’égard du « la haine anti-russe qui s’est emparée de l’OccidentSur CNews, il a regretté ce matin l’arrêt des cours dans les universités françaises en Russie, même si selon lui les étudiants de ces établissements seraient en première ligne de la contestation contre la guerre en Ukraine, qui s’exprime timidement malgré la admonishment dans La journaliste qui a brandi une pancarte anti-guerre en straight à la télévision serait elle-même problem d’une de ces universités, a-t-il précisé.
VOIR ÉGALEMENT – Guerre en Ukraine : où en est-on trois mois après le début du conflit