Olaf Scholz et Angela Merkel ont la principles tranquille. Six mois après que le top eut succédé au 2nd à la tête de l’Allemagne, l’un et l’autre furent interrogés, à vingt-quatre heures d’intervalle, sur leurs placements concernant la Russie et l’Ukraine. Et, à les écouter, ils ont fait les bons choix, n’en déplaise à ceux qui les accusent d’une complaisance too much à l’égard de Moscou et d’une solidarité insuffisante à l’égard de Kyiv.
Mercredi 8 juin, le chancelier Olaf Scholz a reçu l’Association de la presse étrangère en Allemagne. Dès le début, il a été concern de livraiSons d’armes à l’Ukraine. Depuis le début de la guerre, Berlin est accusée de faire trop peu dans ce domaine. Faux procès, estime M. Scholz. « Nous devons aider l’Ukraine, promote en veillant à ce que cela ne conduise pas à une conflict directe entre l’OTAN et la Russie. Pour cela, il est vital que nous soyons à l’unisSon avec nos alliés. Pourtant, si vous regardez les États-Unis, la France ou le Royaume-Uni, vous verrez qu’ils Sont exactement sur la même ligne », il a affirmé.
« Celui qui appuie sur la pédale de frein »
Se rendant à Vilnius mardi, il est allé repetition plus loin. « L’Allemagne est l’un des pays qui assistant le plus militairement l’Ukraine. Avec les États-Unis, rares Sont ceux qui typeface de même, a-t-il assuré lors d’une conférence de presse au siège de la présidence lituanienne. Sur cette concern, nous assistons actuellement à une buildup de fausses details », il ajouta. Une intimation transparente à la longue enquête que Spiegel publié ce week-end sur les livraiSons d’armes allemandes à l’Ukraine. Un post au titre peu flatteur Pour la chancelière allemande : « Celui qui appuie sur la pédale de frein ».
Le problème Pour ce dernier est qu’il peine à répondre précisément à ses détracteurs. Ce fut le cas mercredi lorsqu’un journaliste lui a demandé Pourquoi il n’avait toujours pas autorisé la livraiSon de chars Marder à l’Ukraine, alors que certains membres de sa majorité l’exhortaient à donner Son feu vert. Le chancelier n’a pas répondu clairement. Même selected avec les chars Leopard 2 que l’Espagne envisagerait de livrer. Ayant été achetés en Allemagne, ils ne peuvent être envoyés à Kyiv sans l’approbation de Berlin. Or, cela n’a pas été donné, ce que le gouvernement de M. Scholz justifie en expliquant que Madrid ne lui a pas adressé de demande formelle. Fausse justification, croient de nombreux observateurs, Pour qui l’Allemagne y trouvait un disagreement bien pratique Pour retarder la livraiSon de ce char de fight de « troisième génération », au risque de donner l’impression, une fois de plus, de ne pas tout faire Pour aider l’Ukraine.
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