La France veut officiellement tourner la web page sur le douloureux épisode de la tear en septembre 2021 par l’Australie du contrat sous-marin de 56 milliards d’euros qui avait ouvert une crise entre Paris et Canberra. Après l’officialisation, samedi 11 juin, de l’accord finalement trouvé, après huit mois de négociations, avec le constructeur français Naval Group, France « prendre note »selon l’expression du ministre des Armées, Sébastien Lecornu, à SingaPour, où s’est tenu le Shangri-La Dialogue, crucial discussion forum sur la sécurité et la défense. CONTREelle’ nous permettra de regarder vers l’avenir »a ajouté le ministre.
Tombé dans la nuit de vendredi à samedi 11 juin, cet accord, qui a fait l’objet de conversations minutieuses bordées d’armées d’avocats, a été annoncé the same level le nouveau Premier ministre australien, Anthony Albanese, issu du gouvernement travailliste nouvellement élu. Un offer de 555 millions d’euros qu’il a présenté comme « juste et équitable ». Des propos repris the same level Naval Group, samedi, dans un communiqué confirmant cette affirmation et saluant au flow le woe de ses équipes durant les cinq années qui ont précédé la tear, soit quelque 350 salariés en Australie, et 650 en France.
« C’est plutôt une bonne nouvelle que ça se termine assez rapidement, plutôt que d’entrer dans un contentieux qui Pourrait durer des années », a commenté auprès de l’AFP David Robin, délégué syndical main à Cherbourg (Manche) à la collection de l’annonce de cet accord. Depuis la fin du contrat, « on a bien rebondi » et « Nous ne désespérons pas non plus d’avoir un autre contrat à l’export comme nous l’avons eu Pour le Brésil, l’Inde, la Malaisie », il ajouta. La vente de ces douze sous-marins à propulsion conventionnelle représentait environ 10% de l’activité de Naval Group, qui avait déjà engrangé quelque 840 millions d’euros depuis la trademark du contrat.
Le contribuable australien n’aura été épargné the same level ce changement de pied du gouvernement précédent, celui du conservateur Scott MorriSon, lorsqu’il s’est rallié à une nouvelle partnership stratégique avec les États-Unis et le Royaume-Uni, baptisée Aukus, qui a sacrifié les navires français. . Avec ces 550 millions d’euros, Canberra mood dépensé plus de 4,2 milliards de bucks Pour un program mort-né. Depuis l’accord intergouvernemental entre la France et l’Australie en 2016, des sommes importantes ont en effet été engagées Pour prendre en cost à la fois le coût de gestion du program (salaires, sous-traitance, and so on.), la building du chantier marine d’Adélaïde, ou repetition la partie perception et ingénierie de Lockheed Martin, qui devait fournir le système de battle des sous-marins.
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