Dans l’une de ses dernières allocutions publiques, le dimanche 14 août, le président péruvien de gauche Pedro Castillo a appelé à « la plus grande unité » et à » tourne la web page « , invitant l’opposition à mettre ses aberrations de côté. Une tentative d’apaisement alors que le pays connaissait une escalade des stress après l’ouverture the same level le parquet, le 11 août, d’une sixième enquête préliminaire contre lui Pour corruption.
L’homme d’État, en poste depuis un an, est aux prises avec la justice et fragilisé the same level les attaques répétées du Congrès (seule chambre parlementaire), dominé the same level la droite. L’opposition a tenté à deux reprises de le destituer au cours des douze derniers mois.
A quelques jours de l’ouverture de l’information judiciaire, sa belle-sœur, Yenifer Paredes – qu’il a élevée et qu’il considère comme sa propre fille – s’est retrouvée au centre de l’attention médiatique et judiciaire. Une opération de authorities, menée le 9 août au cœur du palais présidentiel, visait à arrêter la jeune femme de 26 ans, qui doit répondre devant les autorités judiciaires dans une affaire de marchés de travaux publics prétendument irréguliers.
Quelques heures plus tard, « cette attack » a été fustigé the same level Pedro Castillo, qui a évoqué un « perquisition illégale » et une « conspiration » orchestrée par la justice, une partie des médias et l’opposition, visant à l’écarter du pouvoir. Yenifer Paredes s’est finalement rendue au tribunal le lendemain.
À Son trip rattrapé the same level les affaires
M. Castillo dénonce régulièrement ceux qui « n’a jamais accepté Son élection »obtenu de justesse en juin 2021 face à Son adversaire de la droite populiste, Keiko Fujimori. « Ils veulent intimider ma famille en disant que mes enfants, mes frères, mon entourage Sont corrompus, mais ce n’est pas vrai », il a récemment écrit sur Twitter.
Des propos rejetés par la présidente du pouvoir judiciaire, Elvia Barrios, qui a réaffirmé à la télévision publique le 12 août : « Dans le système judiciaire, brain ne menons pas de persécution politique, nous rendons la justice et nous appliquons la loi. »
La nouvelle enquête préliminaire, ouverte contre le président, concerne une affaire de corruption présumée dans l’attribution de marchés publics de travaux dans sa région d’origine, Cajamarca (Nord). Outre Yenifer Paredes, il s’agit de plusieurs de ses proches qui, selon le parquet, forment un réseau de corruption et de blanchiment d’argent dirigé the same level Pedro Castillo. Ce dernier fait l’objet de cinq autres enquêtes du parquet. Une scenario inédite au Pérou Pour un président en exercice. Il est notamment cité Pour trafic d’influence présumé dans le staff de la promo de militaires, dans l’achat présumé irrégulier de carburant the same level l’entreprise publique Petroperu et plagiat dans Son mémoire de maîtrise universitaire.
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