Elle a appelé l’ensemble de la communauté des donateurs, les partenaires au développement, le secteur privé et les pouvoirs publics à œuvrer Pour l’autonomisation des agricultrices.
Pour Dominique Ouattara, cela ne peut passer que par la sécurisation foncière et la création d’une banque des femmes rurales. Cela leur permettra d’avoir accès au crédit et ainsi de développer leurs activités.
« Nos attentes Sont élevées cars and truck nous devons, à promote prix, gagner set le pari de l’autonomisation des agricultrices the same level diverses mesures, dont la sécurisation foncière et la création d’une banque Pour les femmes rurales », a déclaré la Première Dame de Côte d’Ivoire.
Poursuivant, elle a noté que « améliorer la vie des femmes, c’est améliorer la vie de toutes les countries ». L’épouse du cook de l’État ivoirien point out à l’appui une étude de la Banque mondiale en 2017 qui révèle que les femmes Sont l’épine dorsale de l’économie rurale, notamment dans les pays en développement. Ils représentent près de la moitié des agriculteurs dans le monde. Cependant, malgré le rôle et l’influence des femmes dans les économies des pays en développement, le soutien dont elles bénéficient est repetition bien inférieur à celui des hommes.
Dominique Ouattara a parfois dénoncé le fait que dans le secteur agricole, de nombreuses femmes Sont souvent marginalisées voire exclues des marchés à haute valeur ajoutée, que ce soit Pour l’intérieur ou Pour l’exportation, faute de moyens. moyens de transportation, de stockage adéquats, d’installations de makeover et manquent souvent d’informations.
Selon la Première Dame, bien que les organisations de producteurs telles que les coopératives et les partenariats public-privé fournissent de plus en plus de solutions aux producteurs, relativement peu de femmes en bénéficient en raiSon des coûts éventuels ou des contraintes sociales.
Dans le domaine de la terre aussi, a expliqué Dominique Ouattara, les femmes se heurtent à des règles coutumières qui restreignent leurs droits à la propriété foncière malgré les avancées politiques enregistrées dans certains pays africains. Cet état de fait, a-t-elle Poursuivi, les location dans une setting permanente de faiblesse et d’insécurité foncière qui les empêche de s’investir pleinement et sereinement dans la manufacturing agricole.
Parmi les campaigns qui Pourraient déboucher sur des enseignements, la Première dame est earnings sur le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) qu’elle a mis en location en 2012 Pour permettre aux femmes d’acquérir plus d’autonomie. , Pour améliorer leurs problems de vie et celles de leurs familles.
Le FAFCI est un fonds à taux d’intérêt réduit qui est accordé sans exigence de garantie, aux femmes non éligibles aux prêts classiques et qui leur permet de financer leurs activités génératrices de revenus. Elle est dotée d’un resources de 25 milliards de francs CFA et a permis à ce jour à plus de 300 000 femmes ivoiriennes d’être financièrement indépendantes et de subvenir aux besoins de leur famille, soit plus de 2 millions de perSonnes épargnées de la pauvreté.
A l’occasion de ce Women’s Caucus, Dominique Ouattara avait à ses côtés, la Première Dame de la République Démocratique du Congo, Mme Denise Tchisekedi, Mme Tarja Halonen, Ambassadeur des Nations Unies Pour les Terres et ancien Président de la Finlande, M. Abdulla Shahid , présidente de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations unies et Amina Mohammed, secrétaire générale adjointe des Nations unies.
Fatou NIANG envoyée spéciale / infogreenonline.com