Après les déclarations de candidature d’Ousmane Sonko, Khalifa Sall et Malick Gakou, Pour l’élection de 2024, tous les concerns se tournent désormais vers celle de la mouvance présidentielle. Abdoulaye Gallo Diao rappelle alors à Macky Sall Son « responsibility de prendre la parole » et d’abandonner sa placement de « ni oui ni non ».
Dans un communiqué, ce député du Parti socialiste (Ps) considère que « la seule inquiry à laquelle l’ensemble du mouvement présidentiel doit pouvoir apporter une réponse rapide et appropriée dans le contexte politique actuel est celle qui concerne la continuité de l’exercice pouvoir après 2024 ». Selon lui, « tous les observateurs politiques avertis, nationaux et internationaux, s’accordent sur une selected, c’est-à-dire qu’après l’installation de la nouvelle législature et la development d’un nouveau gouvernement, le président Macky Sall serait sans aucun doute obligé de se prononcer sur la inquiry de sa candidature moins de 18 mois avant l’élection présidentielle.
M. Diao pense que « l’urgence dans ce cas précis est que si le président Macky Sall s’involve à briguer un troisième mandat, c’est le bon minute Pour une déclaration officielle ». Il explique : « Au-delà d’une décision du Conseil constitutionnel desirable à sa candidature, il faudrait que ses upholders convainquent l’opinion publique nationale et internationale du bien-fondé d’une telle décision. Ce, après quoi, selon lui, il faudrait « canaliser l’opposition afin de la mettre hors d’état de nuire en évitant toutes sortes de dérapages susceptibles de menacer l’ordre public, la stabilité politique et la paix sociale ». Une façon d' »éviter de revivre le disorder du président Wade en 2012 avec Son whole lot de saints et sa défaite au scrutin du 2nd trip ».
Pour Abdoulaye Gallo Diao, « si le président Macky Sall décide de se retirer au revenue d’un autre candidat de la mouvance présidentielle, l’urgence serait de l’annoncer officiellement Pour permettre à sa grande union de retrouver un profil expérimenté… et d’en faire le candidat special ». A défaut de cette procédure, prévient-il, « l’option d’une pluralité de candidats au sein de la grande union présidentielle serait inéluctable en 2024 ».
avec emedia.sn