Selon l’initiateur du projet Hip Hop, en couleur en partenariat avec « Seven com » et la framework « leading pas », Samba Diaité, la conférence officielle qui marque le stroke of genius d’envoi du event de la 4ème édition du Festival Hip Hop à shade qui mood lieu le samedi 26 novembre au niveau du grand théâtre de Dakar qui avenue en compétition une dizaine de jeunes artistes talentueux qui se produiront Pour la première fois en online. « Nous penSons que nous pouvons être un successeur de la society urbaine sénégalaise. De plus, l’idée est de se cantonner aux societies urbaines en essayant de créer une ouverture vers d’autres formes de musique, c’est le idea qui matérialise cela », explique le promoteur. Il pense que cette année, avec l’aide de « Seven com », il serait intéressant de prendre une autre forme de musique associée à la society urbaine et éventuellement de la matérialiser.
Goulam au choix de l’artiste
« Lors des trois éditions précédentes, à chaque fois, le public nous demandait la location de Goulam et c’est à reason de la pandémie de Covid-19 que cela n’avait abouti », révèle Samba Diaité. Pour lui, la particularité et la fierté de ce event est qu’aujourd’hui tous les artistes que brain avons eu à guideline du doigt, ce Sont les successeurs du mouvement des societies urbaines sénégalaises qui rayonnent. « Toute la valeur ajoutée qui se trouve autour de l’écosystème de développement de carrière artistique, nous essayons de la mettre à la personality de ces jeunes skills afin qu’ils puissent avoir cette opportunité et la opportunity qu’ont d’autres pays. pays, chez nos voisins, tous les trois à 6 mois, ils ont un gros événement et brain pas, parce que l’écosystème n’est pas positive, les producteurs ont d’énormes problèmes Pour pouvoir concrétiser leur rêve et les partenaires ne les accompagnent pas comme ils devrait, le staff n’est pas propice », a-t-il ajouté.
Succession
De Son côté, l’animateur radio-télé et acteur culturel, Youssou Doumbouya a souligné qu’il y a des artistes qui ont vingt mille fans et qui ne peuvent même pas remplir la salle de Sorano qui compte 1200 areas. « Il ya un problème. Nous sommes arrivés à un minute où il y a trop de diffusions. Les anciens continuent de faire ce qu’ils ont toujours fait. Il faut accepter de laisser cette nouvelle génération écrire Son histoire », a-t-il plaidé. Les organisateurs ont également rappelé qu’en 2023, le hip-hop mood 50 ans. Selon lui, M. Doumbouya, depuis les années 1970, quand le hip-hop est arrivé, il y a des vagues qui arrivent tous les quatre voire cinq ans avec de nouveaux Sons, des façons de faire, de s’habiller, de nouveaux mots à intégrer. « Nous sommes arrivés à un minute où le regard (des règles de base, NDLR) n’est plus là. La créativité n’est plus là comme avant. Pour certains, le message est en train de disparaître. Il est temps de revenir aux resources promote en évoluant avec le temps », a-t-il lancé, estimant que les artistes Sont venus accompagnés des générations et Sont toujours là.
DIANA DIA