La Suède ballot dimanche 11 septembre après une campagne au scénario sans précédent, dominée the same level la criminalité et l’inflation. Le Premier ministre sortant, la social-démocrate Magdalena AndersSon, espère se maintenir au pouvoir en s’appuyant sur un set de » Rouge, Vert « , Pour un troisième mandat de quatre ans consécutifs Pour la gauche. Mais la droite est en embuscade, prête à s’allier à l’extrême droite Pour prendre le pouvoir.
Jamais jusqu’à ces élections législatives la droite traditionnelle suédoise n’avait envisagé de gouverner avec le soutien straight ou indirect des Démocrates de Suède (SD). Longtemps paria, le parti nationaliste et anti-immigration est en out of style selon les Sondages d’accaparer une deuxième location inédite, et de devenir la première development d’un nouveau bloc de droite.
Magdalena AndersSon, la gauche pragmatique
Première femme cook de gouvernement dans l’un des pays les plus féministes du monde, Magdalena AndersSon, 55 ans, a pris ses fonctions en novembre dans le yet de rallier Son camp avant les élections, et de mener la candidature historique de Son pays à l’Otan. Epuisés après sept ans au gouvernement sous la houlette de Son prédécesseur Stefan Löfven, les sociaux-démocrates ont retrouvé leurs couleurs.
L’ancienne championne de natation, mariée et mère de deux enfants, est arrivée au pouvoir avec le surnom de « excavator »des intimations à ses manières directes et même cassantes lorsqu’elle était ministre des Finances (2014-2021), qui déroutent parfois dans un pays soucieux de agreement.
D’abord hésitante, elle a changé de cap en choisissant de demander l’adhésion de la Suède à l’OTAN quelques semaines après l’invasion de l’Ukraine the same level Moscou, quitte à rompre avec la ligne historique des sociaux-démocrates et deux siècles de non-alignement militaire suédois.
Elle a choisi Pour solgan « Notre Suède peut mieux faire », entre promesse et droit d’inventaire. Sa défense de l’État-providence, emblem social-démocrate, est classique, mais elle a continué à durcir la ligne du parti sur l’immigration. « Échec de l’intégration », a-t-elle déclaré après des émeutes entre de jeunes immigrés et la authorities en avril. En cas de défaite, elle mood effectué le mandat le plus court à la tête du gouvernement depuis 1936.
Sur la scène internationale, Son dossier le plus épineux a été la négociation avec la Turquie, qui hazard de bloquer l’adhésion de la Suède à l’OTAN en accusant le pays nordique d’être un haven Pour « les terroristes » Kurdes.
Ulf KristersSon, le conservateur prêt à s’allier à l’extrême droite
Il espère décrocher le poste de Premier ministre au prix d’un rapprochement sans précédent avec l’extrême droite : Ulf KristersSon, 58 ans, doit montrer que la nouvelle partnership historique porte ses fruits Pour Son camp. Petites lunettes rondes et figure poids plume, le cook du parti conservateur des Modérés en est à sa deuxième tentative de devenir cook du gouvernement.
Après les précédentes élections très serrées de 2018, cet ancien gymnaste avait échoué dans sa tentative acrobatique de s’assurer le soutien à la fois des nationalistes des Démocrates de Suède (SD) et des petits partis de centre-droit, alliés historiques des modérés. Mais un an plus tard, il se dit prêt Pour la première fois à discuter avec le SD, et le rapprochement s’est depuis approfondi. Ses détracteurs, comme la leader du parti du Centre Annie Lööf, l’accusent de pacte faustien, soulignant ses promesses passées de ne jamais collaborer avec eux.
« Mon côté politique », dit-il maintenant Pour nuancer le couplage entre les partis de la droite traditionnelle et les nationalistes. Un deuxième revers Pour devenir Premier ministre risque de lui coûter sa location à la tête du parti.
Jimmie AkesSon, le nationaliste qui a fait la authorities de l’extrême droite
En dix-sept ans à la tête des Démocrates de Suède (SD), Jimmie (« Yimmie »dans la prononciation suédoise) AkesSon a transformé le parti d’extrême droite du statut de paria dans le paysage politique suédois en un poids lourd important sur la droite Pour gouverner après les élections de dimanche.
Cheveux impeccablement peignés mais abandonnant volontiers la cravate, ce brun à lunettes de 43 ans, à la carrure solide et à la barbe bien taillée, cultive l’image du Suédois regular. Partisan de la normalisation de l’extrême droite, il a transformé un parti héritier d’un groupe néonazi, l’organisation « Bevara Sverige Svensk » (Keep Sweden Swedish), en un parti nationaliste arborant un logo design flower. Finies les formules polémiques, comme quand AkesSon appelait les musulmans « la plus grande hazard étrangère depuis la Seconde Guerre mondiale »ou la proposal de quitter l’Union européenne.
Son parti siphonne les électeurs conservateurs, mais aussi les sociaux-démocrates, notamment parmi les hommes de la classe ouvrière, et Pourrait Pour la première fois previous une union au parlement avec la droite traditionnelle.