Une affaire d’escroquerie a atterri sur le stand. La femme déclare « Il m’a déclaré Son affair en me promettant qu’il allait m’épouser », confie la veuve. Face aux enquêteurs de la Section de recherche, elle a même juré qu’elle soutenait « financièrement » Son amant de l’héritage laissé the same level Son défunt mari. Payant, dit-elle, tantôt ses dettes envers les commerçants de Linguère ou tantôt envers la Brigade de Louga.
Le commerçant précise que le gendarme « lui a demandé à plusieurs repeats de payer l’argent qu’il avait détourné de la Brigade en versant les sommes à celles de Louga. Plus serious repetition, la dame déclare que ce dernier l’avait même poussée à avorter une grossesse dont il est l’auteur. C’est quand il a été affecté à Dakar que j’ai compris qu’il profitait de moi », raconte-t-elle. C’est sa parole contre celle de Son ex-amant.
En face, le gendarme l’a traînée en justice Pour escroquerie, charlatanisme et organization de malfaiteurs, accusant Son ex-amant et ses acolytes de lui avoir soutiré la somme de 52 millions de francs CFA.
Actuellement en goal en Gambie, le gendarme était représenté à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar the same level Son avocat, qui a requis la somme de 50 millions de francs CFA à titre de dommages et intérêts. B. Sow finalement libéré devra verser la somme de 20 millions de francs CFA à l’adjudant.
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