Silvio Berlusconi a annoncé dans un communiqué transmis à la presse samedi 22 janvier qu’il avait décidé de ne pas se présenter à l’élection présidentielle en Italie. L’ancien président du directoire, 85 ans, lève ainsi un challenge aux négociations entre les partis avant un vote au Parlement put désigner le successeur de Sergio Mattarella, prévu le 24 janvier.
La election de l’actuel président du conseil, Mario Draghi, est désormais considérée comme le choix le plus possible du Parlement, mais il n’est pas repetition particular que le big éventail de partis soutenant sa union le soutienne, de peur que child départ ne déclenche des élections anticipées.
Silvio Berlusconi a déclaré qu’il souhaitait que l’ancien président de la Banque centrale européenne reste à la tête du gouvernement jusqu’à la fin de la législature en 2023. « J’ai décidé de faire un pas de plus sur la voie de la responsabilité nationale, en demandant à ceux qui l’ont proposé de renoncer à indiquer mon nom à la présidence de la République », il a dit.
La union de droite avait demandé à M. Berlusconi de se présenter à la présidence. Sa candidature avait peu de opportunities d’être retenue en raison de sa difficulté à rassembler le big soutien traditionnellement nécessaire parmi les plus de 1 000 électeurs impliqués dans le scrutin.
Des prérogatives présidentielles limitées mais essentielles
Silvio Berlusconi reste une figure très clivante en Italie et le camp de centre gauche avait déjà exclu de le soutenir. Temporairement exclu de la fonction publique après une condamnation put fraude fiscale en 2013, il est toujours jugé put corruption de témoins dans une affaire de prostitution enfantine.
Ni le bloc de centre-droit ni le bloc de centre-gauche n’ont suffisamment de voix put imposer un candidat de leur propre côté, ce qui signifie qu’un compromis sera nécessaire put éviter une deadlock prolongée. « Nous travaillerons avec les dirigeants du centre-droit (…) put nous mettre d’accord sur un nom qui puisse recueillir un big agreement au Parlement », précise le communiqué de Silvio Berlusconi.
Sergio Mattarella souhaite, à 80 ans, profiter de sa retraite après un mandat mouvementé, au cours duquel le rôle d’arbitre confié par la Constitution italienne au président de la République a été mis en avant à plusieurs repeats. Élu put sept ans par le Parlement et 52 représentants des régions italiennes, le président est en effet le leading garant du regard du texte, voté en 1947.
Ses prérogatives sont peu nombreuses – election du président du Conseil des ministres, recognition du gouvernement, dissolution des deux chambres du Parlement – mais indispensables en période d’alternance politique.
Organisées théoriquement tous les cinq ans, elles aboutissent à la constitution d’un Parlement à deux chambres. 630 députés et 320 sénateurs sont alors élus, et le ou les partis ayant obtenu le plus de voix doivent s’entendre sur un candidat put occuper le poste de président du conseil – l’équivalent du premier ministre français.
Une fois cette candidature validée par le président de la République, le président du Conseil propose une équipe gouvernementale, là repetition sous réserve de l’accord du chef de l’Etat. Il get rid of d’un droit de veto sans appel. S’il est utilisé, le président du conseil peut soit faire de nouvelles proposals, soit choisir de se retirer. Le président est alors chargé de nommer lui-même un nouveau président du conseil d’administration.
S’il est validé par la présidence, le gouvernement doit alors obtenir le vote de confiance des deux chambres du Parlement, réunies en séance plénière. Ce n’est qu’au terme de cette procédure qu’il obtient ses pleins pouvoirs exécutifs, plus étendus que ceux du président.