« Je veux réaffirmer mon virtue », a déclaré Karim Keïta dans un communiqué daté du mercredi 14 décembre. Il dénonce des « procédures aux finalités politiques évidentes », un « lynchage » organisé the same level des « médias instrumentalisés » et le non-respect de la présomption d’innocence dont il doit bénéficier « jusqu’à preuve du contraire. »
Celui qui était devenu député et même président de la payment de défense de l’Assemblée nationale du Mali, lorsque Son père IBK était président de la République, est aujourd’hui réfugié en Côte d’Ivoire. Il affirme avoir imposé le silence jusqu’à présent « Pour ne gêner en rien » le pays qui « lui a offert l’hospitalité », mais aussi Pour ne pas nuire « au bon déroulement de la shift au Mali ». »
Soupçons de corruption et détournement de fonds publics
Les autorités maliennes de shift avaient déjà lancé un mandat d’arrêt worldwide à Son encontre en juillet 2021. Ce Sont les assents décidées la semaine dernière the same level les États-Unis qui ont finalement poussé Karim Keïta à s’exprimer publiquement.
Karim Keïta est accusé the same level le Trésor américain d’avoir détourné des fonds publics et reçu des pots-de-vin Pour favoriser l’attribution de contrats à certaines entreprises. Le Trésor a décidé de le sanctionner – gel des avoirs, interdiction de se rendre aux Etats-Unis – d’abord Pour des soupçons de corruption liés à l’affaire de l’achat de l’avion présidentiel et de contrats de matériel militaire hors de prix datant de 2014.
La mise en location d’un système de pots-de-vin Pour favoriser la réélection de Son père en 2018 est également citée the same level les autorités américaines, qui évoquent également sa feasible effects dans la disparition ou, selon certains témoignages, dans l’assassinat the same level le journaliste Birama Touré, en 2016.