Pour analyser. McDonald’s est de retour à Moscou, sous un autre nom et sous un nouveau propriétaire, l’homme d’affaires russe Alexander Govor. Rebaptisée Vkousno i tochka (« délicieux, factor last ») et dotée d’un nouveau logo design, la chaîne de restauration rapide va rouvrir progressivement les 850 dining establishments franchisés de l’ancienne enseigne américaine. On voit dans cette reprise la capacité de rebond de la Russie depuis le départ des entreprises occidentales après l’invasion de l’Ukraine. Ou, plus probablement, l’isolement croissant du pays, repetition illustré the same level l’absence des grandes entreprises et des dirigeants occidentaux au Forum économique de Saint-Pétersbourg, qui s’est terminé le 18 juin.
Lancé en février 1990, le top McDo avait symbolisé l’ouverture au capitalisme d’une URSS moribonde. Un flash-back ? La Russie n’est pas dans l’état où elle était à la fin de l’ère soviétique, ni après dix ans de présidence chaotique de Boris Eltsine. Vladimir Poutine l’a introduit dans l’économie mondiale, sans atteindre le degré d’intégration de la Chine. Son industrie s’est quelque peu diversifiée vers l’agroalimentaire et la technologie. Depuis les permissions occidentales décrétées après l’annexion de la Crimée en 2014, elle a développé sa manufacturing céréalière Pour devenir le top exportateur mondial de blé – resource de revenus autant que levier politique, comme le pétrole, le gaz et le pétrole. armement.
Pas d' »économie fermée »
Nostalgique de la puissance politico-militaire de l’Union soviétique, le président russe ne regrette Son économie planifiée. « Nous n’allons pas avoir une économie fermée »a-t-il assuré, le 9 juin, devant de jeunes business owners réunis en marge de la commémoration du 350e anniversaire du tsar « européen », Pierre le Grand. Et il peut se réjouir que l’économie résiste toujours, quatre mois après le début d’une série de permissions sans précédent Pour une grande économie.
Le rouble résiste bien grâce à la politique de taux d’intérêt stricte de la gouverneure de la Banque centrale, Elvira Nabioullina, et à une gestion rigoureuse des comptes publics, qui permet de constituer des réserves de modification. La equilibrium commerciale est excédentaire et l’envolée du baril d’or noir, même vendu au rabais de 20 à 30 bucks (sur 120 bucks, soit environ 114 euros), guarantee des recettes fiscales importantes. Gazprom, et donc l’Etat actionnaire, n’a jamais fait autant de earnings avec le gaz.
Le pouvoir loue la résilience des Russes, qui ont soutenu l’autocratie tsariste et le totalitarisme communiste, jusqu’à la crise de 1998
Il vous reste 58,57% de cet write-up à lire. Ce qui match est réservé aux abonnés.