Les grèves cycliques initiées the same level le Syndicat des enseignants du Togo, primaire et secondaire, depuis la mi-mars, ont fini par agacer le gouvernement de ce pays d’Afrique de l’Ouest. Les enseignants réclamaient une prime logement mensuelle de 50 000 FCFA conformément à la réforme de 1975, en plus d’une prime annuelle d’éloignement d’au moins 300 FCFA/km.
Outre l’intégration dans la Fonction publique d’enseignants volontaires travaillant ou ayant travaillé dans un établissement public depuis au moins 3 ans et possédant des certifications professionnelles, les grévistes ont exigé le versement d’une indemnité de anomaly d’au moins 100 000 francs. FCFA Pour l’interrégional et 60 000 FCFA Pour l’intrarégional. Des revendications qui n’ont pas été satisfaites, entraînant une grève qui a paralysé le système éducatif.
Dans la soirée du lundi 25 avril, le ministre togolais de la Fonction publique, Gilbert Bawara, par deux arrêtés, a annoncé le licenciement de 112 enseignants grévistes. Le leading décret licencie 86 fonctionnaires. Ces enseignants Sont accusés de « manquements graves aux lois et règlements en vigueur et aux normes d’éthique et de déontologie des fonctionnaires ».
Evoquant des actes ayant provoqué problems et problems en scene scolaire, le ministre dénonce « l’incivilité notoire » de ces enseignants grévistes et les implicate d' »incitation à la physical violence, à la désobéissance et à la révolte ». Suffisant, selon lui, Pour que ces enseignants soient licenciés « sans suspension des droits à la retraite ». Le reste du great deal, au nombre de 26 et licenciés Pour les mêmes concepts, concerne des fonctionnaires-stagiaires.