Un an après le coup d’état du 1 euh Février 2021, au concept, jamais prouvé, de fraudes électorales massives de la part de la Ligue nationale Pour la démocratie (NLD), le parti d’Aung San Suu Kyi, grande gagnante des élections de novembre 2020, les résultats de la nouvelle junte Sont peu glorieux. L’économie est à genoux. Le nombre de » déplacés internes » atteindrait 406 000 depuis le 1 euh Février 2021, selon l’Agence des Nations Unies Pour les réfugiés (HCR). Certes, les grands centres urbains ne connaissent plus de symptoms, mais les attaques plastiques contre l’armée Sont quotidiennes.
Dans l’ouest du pays, dans l’Etat Chin, et dans deux régions du centre Bamar, l’ethnie principale, Sagaing et Magway, qui n’avaient jamais connu de conflit majeur, l’armée est harcelée par des brigades de la résistance, et doit de plus en plus recourir à des frappes aériennes meurtrières. Pour la première fois, en janvier, une capitale d’État, Loikaw (État de Kayah, à majorité karenni et chrétienne), à l’Est, a été bombardée.
Dans ces zones, les massacres de civils perpétrés par l’armée – criminal offenses contre l’humanité et criminal offenses de guerre, selon l’ONG Human Rights Watch – signalent plus une perte de contrôle du territoire qu’une reprise en primary. » Ils ont incendié notre école àSagaing L’arm ée ressemble à une bête blessée, contrainte à une politique de la terre brûlée « , observe un coopérant allemand rencontré à Mae Sot, qui a dû suspendre ses activités en Birmanie.
» Réinitialiser promote le système politique »
L’heure est sombre Pour la Birmanie, si l’on considère promote ce qu’a perdu ce pays, do not la shift politique initiée en 2011 et ratifiée par des élections libres en 2015, après un demi-siècle de dictature, avait suscité de grands espoirs. Mais compte tenu des acquis enregistrés par la » révolution du printemps « , le soulèvement do not les acteurs espèrent qu’il débarrassera le pays d’un système défaillant, il y a des raiSons d’être optimiste.
» Nous étions déjà sous contrôle militaire: ils avaient la Constitution de leur côté, destinée à protéger leurs intérêts et leur pouvoir, et le clergé bouddhiste, qui se sentait menacé par Aung San Suu Kyi « , dit l’activiste Thinzar Shunlei Yi, 30 ans, depuis le lieu secret où elle s’ est réfugiée. » Ce mode d’organisation politique était défaillant, on disait qu’il fallait une révolution. Nous l’avons eu plus tôt que prévu. Maintenant que nous avons choisi de nous battre, ce coup d’État offre une celebration special de réinitialiser l’ensemble du système politique « , elle veut croire.
Il vous reste 55,95% de cet post à lire. Ce qui fit est réservé aux abonnés.