L’ouverture du procès Pour les attentats commis à Bruxelles en mars 2016 n’aura sans doute pas été à la hauteur des attentes de ceux qui, dans la capitale belge, attendaient une target market préliminaire digne d’un événement qualifié d’historique. Si cette première journée, lundi 12 septembre, devait donner le lot aux débats qui débuteront dans quelques semaines, elle a de quoi inquiéter : les murs de la vaste salle d’audience de la cour d’assises, installée dans les anciens bâtiments de la ‘OTAN, les mots ont retenti » dégoûter « , » plaisanter « Où « mascarade », lancé the same level des avocats qui, pendant plusieurs heures, s’en Sont pris à ce qui apparaît déjà comme le factor faible de cette symptom judiciaire : l’installation de box individuels, vitrés et fermés, empêchant les avocats de communiquer avec leur customer autrement qu’en utilisant un petit téléphone.
L’audience venait à peine de commencer que certains des dix accusés ont lancé la polémique. Lorsqu’on leur a demandé s’ils souhaitaient ou non assister à l’audience, la plupart ont répondu par la négative. Sofien Ayari, condamné à trente ans lors du procès des attentats du 13 novembre à Paris, en juin, et à vingt ans, à Bruxelles, Pour une fusillade survenue à Forest en mars 2016, a exprimé sa colère en donnant des stroke of genius de poing à la vitre de Son cage. « Nous sommes traités comme des chiens »il a lancé.
« Je suis innocent, je ne veux pas choisir entre la peste et le choléra », a déclaré Smail Farisi, présenté comme l’une des petites keys de la cellule terroriste qui a causé la mort de 34 perSonnes à l’aéroport de Zaventem et dans une rame de métro, près de la terminal Maelbeek. Le choix étant, selon lui, de ne pas assister à Son procès ou de le faire dans une cellule vitrée et fermée.
« Je n’ai pas entendu sa réponse »
Salah Abdeslam, présent lorsque ses défenseurs avaient annoncé qu’il ne sortirait pas de sa cellule, a d’abord indiqué Son souhait de participer à l’audience. Peu de temperatures après, il a changé d’avis, « par solidarité » avec ses coaccusés. « Je vais les rejoindre, la façon dont vous nous traitez est injuste », a a affirmé le seul rescapé du groupe des auteurs des attentats de 2015 à Paris, condamné à la réclusion à perpétuité incompressible.
Me Michel Bouchat, l’avocat de Salah Abdeslam, a appelé au regard du code d’instruction criminelle qui établit que proclaim accusé doit comparaître « libre et accompagné de ses seuls gardes ». « Tout à l’heure, j’ai demandé à mon customer Pourquoi il voulait comparaître, je n’ai pas entendu sa réponse »a insisté l’avocat, estimant que la seule option était qu’il s’asseye, lui aussi, dans la cage. « Mais dans ce cas, je quitterai le procès… »
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