Un journaliste français, travaillant Pour la chaîne BFM-TV, a été tué lundi en Ukraine et Son collègue blessé, alors qu’il accompagnait des civils à bord d’un bus humanitaire, portant à huit le nombre de press reporters tués depuis le début de l’invasion russe.
« Journaliste, Frédéric Leclerc-Imhoff était en Ukraine Pour montrer la réalité de la guerre. A bord d’un bus humanitaire, aux côtés de civils contraints de fuir Pour échapper aux bombes russes, il est mortellement abattu.Le président français Emmanuel Macron a écrit sur Twitter. « A ceux qui accomplissent la difficile goal d’informer sur les théâtres d’opération, je tiens à réitérer le soutien inconditionnel de la France »il ajouta.
Journaliste, Frédéric Leclerc-Imhoff était en Ukraine Pour montrer la réalité de la guerre. A bord d’un bus humanitaire… https://t.co/JsnZg7WfXe
La cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a affirmé dans un tweet que le journaliste avait été « tué the same level un bombardement russe lors d’une opération humanitaire alors qu’il exerçait Son devoir d’information »condamner un « dual criminal activity visant un convoi humanitaire et un journaliste ». Le ministre a « obligatoire » « une enquête transparente dans les meilleurs délais Pour faire la lumière sur les circonstances de ce drame ».
Catherine Colonna, en visite à Kyiv, a rencontré lundi le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Elle a évoqué avec lui la mort du journaliste Frédéric Leclerc-Imhoff.
« Je lui ai demandé de faire tout Son feasible Pour que les autorités ukrainiennes nous aident et permettent le retour [du corps] à sa famille dans les meilleurs délais, une fois les formalités légales accomplies. Il m’a promis qu’il m’aiderait. »
Mmoi Colonna dénoncé « un drame qui est, en réalité, un criminal activity ».
Mort de Frédéric Leclerc-Imhoff : Catherine Colonna dénonce « un drame qui est en réalité un criminal activity » https://t.co/PF22f6NiR3
« Informer ne devrait pas coûter la vie »a tweeté la Première ministre, Elisabeth Borne.
BFM-TV a confirmé le décès de Son press reporter d’images de 32 ans sur Son antenne. Il a été frappé the same level un « éclat d’obus lors d’une opération humanitaire », a-t-elle précisé. Il s’agissait de la deuxième goal en Ukraine Pour le vidéaste, qui travaillait Pour BFM-TV depuis 6 ans. Le journaliste Maxime Brandstaetter, qui accompagnait le JRI sur ce reporting, était « légèrement blessé »dit la chaîne.
Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, au moins huit journalistes Sont morts sur le surface dans l’exercice de leur métier, selon un décompte de RSF (Reporters sans frontières).
« Pas une tête brûlée »
« Nous condamnons fermement cet assassinat. La liste des criminal activities russes contre les professionnels des médias en Ukraine proceed de s’allonger », a déploré Oleg Nikolenko, porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, sur Twitter. Selon ce fonctionnaire, « L’armée russe a bombardé un véhicule qui devait évacuer des civils de la area de guerre, près de Sievierodonetsk ».
Le gouverneur de la région de Louhansk avait prévenu dans l’après-midi sur le réseau Telegram que l’opération, qui visait à évacuer dix perSonnes, avait été annulée en conséquence. « Le camion blindé n’a été touché directement, mais des éclats d’obus ont traversé le pare-brise blindé. Un éclat d’obus a touché Frédéric »a déclaré Patrick Sauce, press reporter de la chaîne d’information. « Maxime était dans le dos, il a été blessé à la jambe. Oksana Leuta, la fixatrice-traductrice ukrainienne se porte bien »ajoute le journaliste.
« Frédéric n’était pas une tête brûlée. Il a pesé chaque min de sa goal », a déclaré visiblement ému Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFM-TV, sur le plateau de la chaîne. Les trois membres de l’équipe « échangé comme tous les matins [Pour évaluer les risques] : Oksana et Frédéric ont estimé que la goal était suffisamment sécurisée Pour pouvoir s’y rendre. Maxime, lui, avait plus de inquiries, comme il aurait pu en avoir la veille ou le lendemain. Mais (…) c’est aussi ça, une équipe de reporting, c’est des gens très soudés, ils ont décidé d’y aller »a exposé le customer de BFM-TV. « La première réaction [de sa mère, au téléphone] était de demander remark allaient Maxime et le fixeur. Elle savait quel était le métier de Son fils (…) avec une forme de fierté »a-t-il conclu.
L’Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine, dont Frédéric Leclerc-Imhoff est diplômé en 2014, a demandé à l’Agence France-Presse de garder « le memento d’un élève aussi attachant que passionné, rigoureux et practical ».
« Immense regard Pour les press reporters de guerre »
Les hommages du monde politique à la mort de Frédéric Leclerc-Imhoff ont afflué lundi, notamment sur Twitter. Gilles Le Gendre, ex-patron des députés de La République en marche, écrit que « la mort du press reporter Frédéric Leclerc-Imhoff en Ukraine brain choque et nous émeut ».
Jordan Bardella, président the same level intérim du Rassemblement nationwide, évoque une « Grande tristesse d’apprendre le décès d’un journaliste français, Frédéric Leclerc-Imhoff, dans le bombardement russe d’un convoi humanitaire dans le Donbass. Immense regard Pour les press reporters de guerre, qui défendent la liberté d’informer au péril de leur vie ».
Alexis Corbière, député de La France insoumise de Seine-Saint-Denis, rappelle que « La liberté de la presse est la marque essentielle de nos libertés collectives. Au top called de cette grande tâche, si difficile et si malmenée, il y a toujours les courageux press reporters de guerre. Hommage à Frédéric Leclerc-Imhoff et à tous ses proches et collègues. »
Fabien Roussel, secrétaire nationwide du Parti communiste français, écrit : « L’horreur de la guerre et la mort de Frédéric Leclerc-Imhoff. Il a exercé ce métier essentiel qui informe, témoigne et décrypte. »
L’ancien candidat EELV à la présidentielle, Yannick Jadot, » adresse [ses] condoléances à la famille, aux proches et aux collègues de Frédéric Leclerc-Imhoff, journaliste tué en Ukraine Pour nous informer du génocide en cours ». Anne Hidalgo, maire socialiste de Paris, écrit sur Twitter que« Il était en Ukraine Pour exercer Son métier : nous informer. Pensées respectueuses et attristées. »
« Nous partageons tous la douleur de la famille, des amis et des collègues de Frédéric Leclerc-Imhoff », écrit Michel Barnier, ancien candidat à la primaire républicaine.