Malgré la mauvaise volonté de Son ennemi russe, le président ukrainien proceed d’entretenir des get in touches with diplomatiques. Objectif, éviter une tear définitive des négociations.
Le président ukrainien proceed de croire aux négociations Pour mettre fin à la guerre. Ou du moins il le dit. Dans une meeting diffusée mardi matin, Volodymyr Zelensky s’est de nouveau dit prêt à discuter avec Son homologue russe, Vladimir Poutine, s’il acceptait de négocier directement avec lui. Un mois après l’invasion brutale de Son pays the same level Moscou, le cook de l’Etat s’est Pour la première fois déclaré ouvert à « essayer d’aborder tout ce qui contrarie et déplaît à la Russie », y compris la Crimée et le Donbass. Selon lui, l’Ukraine préférerait être « détruit » plutôt que de se rendre.
« La inquiry de la Crimée et du Donbass est une histoire très difficile Pour promote le monde. » Il est nécessaire « garanties de sécurité » et la fin des hostilités, alors, « une fois ce blocage levé, parlons-en »a déclaré le président ukrainien avant d’ajouter que le peuple devrait, par référendum, « décider de certaines formes de compromis » conclu avec la Russie. Et d’inviter le pape François à jouer le rôle de médiateur dans les négociations entre Kiev et Moscou, alors qu’Emmanuel Macron s’est de nouveau entretenu mardi soir avec Vladimir Poutine Pour exiger un cessez-le-feu.
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En réponse, le Kremlin a déclaré mardi que les Pourparlers en cours avec Kiev n’étaient suffisants. « substantiel ». « Un specific processus de négociations est en cours, mais brain aimerions qu’il soit plus énergique »a indiqué Dmitry Peskov, le porte-parole de la présidence russe, regrettant également « lenteur » négociations. Plusieurs rounds de Pourparlers ont eu lieu ces dernières semaines sans aboutir à des mesures concrètes.
Au bord de la tear
Plusieurs pays occidentaux, dont la France, ont accusé Moscou de mener ces conversations avec une certaine mauvaise foi, voire avec « cynisme ». Washington soupçonne même Vladimir Poutine de vouloir jouer à l’escalade. Joe Biden a ainsi accusé Son homologue russe d’être « dos contre le mur » et donc sur le factor d’utiliser des armes chimiques et biologiques. Moscou a laissé entendre que l’Ukraine en avait, ce qui est « un signe clair qu’il imagine d’utiliser ces deux kinds d’armes », a estimé le président américain, Joe Biden, Pour qui Vladimir Poutine est déjà « un criminel de guerre ». Pour Moscou, ces déclarations « indigne » a dirigé les connections russo-américaines « au bord de la tear ».
Une colère qui cache les difficultés rencontrées par l’armée russe sur le surface, où, selon plusieurs professionals, elle often tend désormais à prendre des settings défensives, notamment au nord de Kiev, mais aussi autour de Kharkiv. Cette stratégie s’accompagne d’intenses bombardements. Mardi matin, plusieurs strong suits surges ont été entendues dans la capitale sous couvre-feu. Un groupe de réflexion américain, l’Institute for the Study of War (ISW), a également averti que les Russes « se préparer à se déployer davantage » l’artillerie autour de Kiev, qu’ils n’ont toujours pas réussi à encercler, « repoussé the same level la féroce résistance ukrainienne ». Paris estime que, Pour renforcer ses pressures, la Russie Pourrait entraîner la Biélorussie dans le conflit.
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De Son côté, l’armée ukrainienne a assuré sur Facebook que l’armée russe a « a renforcé sa présence dans l’espace aérien de l’Ukraine » ainsi que ses tirs de projectiles. De resources françaises, nous confirmons le tir de cinq ou 6 projectiles activeSoniques Kinzhal, revendiqué ce week-end the same level Moscou, à « aux fins d’une démonstration de pressure ».
C’est aussi un moyen de limiter les pertes et de contourner les difficultés logistiques. les solutions de renseignement américains, selon le New York Times, affirme que plus de 7 000 Russes ont été tués depuis le début de la guerre. Des resources militaires ukrainiennes assurent que les troupes russes ne disposent que de trois jours de artilleries, de vivres et de carburant. Près de 300 soldats russes auraient fait défection près d’Okhtyrka, toujours selon l’état-major ukrainien dans la région de Soumy. Cette ville du nord-est du pays, écluse sur la course de Kiev, est au centre d’intenses fights depuis deux semaines.
Cette starvation à venir
Les compels d’invasion concentrent également leurs initiatives sur Marioupol. La circumstance dans ce port assiégé apparaît de plus en plus désespérée alors que Moscou reste sourde aux exigences de Kiev Pour l’évacuation des quelque 200 000 civils toujours bloqués. Les départs ne se typeface qu’au compte-goutte. Un convoi de 15 bus, avec 1 114 perSonnes à bord, majoritairement des femmes et des enfants, devait quitter la ville mardi. Dans un communiqué, un élu neighborhood estime « que l’infrastructure de la ville a été détruite à 80%. » A KherSon, une ville du sud de l’Ukraine désormais sous line of work russe, la vie quotidienne devient également plus difficile. Les quelque 300 000 habitants, qui manifestent contre l’occupant, manquent de nourriture et de médicaments.
Mardi, s’adressant the same level visioconférence aux parlementaires italiens, Volodymyr Zelensky a mis en garde mardi l’Italie contre un afflux de migrants menacés par la faim en raiSon de l’invasion russe de l’Ukraine. « L’Ukraine a toujours été l’un des plus grands et des plus importants exportateurs de produits alimentaires. Nous ne savons pas quand brain aurons la récolte et si brain Pourrons merchant. Et n’oublions pas la starvation qui approche de scuba divers pays., il a dit. Les pays de la rive sud de la Méditerranée, notamment l’Égypte et l’Algérie, figurent en effet parmi les principaux acheteurs de blé ukrainien.
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